La France a innové considérablement dans l’agriculture biologique, et fut le premier pays à s’impliquer dans cette nouvelle discipline au début des années 1980.
La culture de la vigne n’a pas échappé, et nous le constatons aujourd’hui, à un engouement croissant vers les vins biologiques à travers la planète.
Le Québec, l’Ontario et la Colombie-Britannique ont des vignobles dédiés à la culture biologique pour satisfaire le consommateur informé et éduqué à trouver des alternatives pour une santé meilleure et pour un plus grand respect de la nature.
Cultures écologiques et biologiques ne sont que des synonymes qui soulignent la tendance de ce mouvement.
Au départ, pour être certifié biologique, il faut que le sol soit libre de toute présence de pesticides, d’herbicides, de fongicides et d’engrais chimiques durant une période allant jusqu’à cinq ans selon les pays. De plus, un vin certifié biologique ne doit avoir aucun additif tel que des sulfites ajoutés pour un meilleur contrôle de la fermentation alcoolique dans des vins non bio.