Les programmes de l’Université de l’Ontario français (UOF), qui compte accueillir environ 300 étudiants à son ouverture à Toronto en 2020, et 2000 dix ans plus tard, s’appuieront sur les forces de la région: métropole économique multiculturelle moderne.
C’est ce qu’a expliqué le recteur par intérim Normand Labrie, en entrevue avec l’animatrice de radio Marjorie April sur la scène du Club canadien de Toronto mercredi midi. Quelques heures plus tôt, il répondait aux mêmes questions à son émission Y a pas deux matins pareils.
L’UOF, créée par la loi en décembre dernier et dotée de son conseil des gouverneurs en avril par le gouvernement libéral, commencera avec quatre programmes, dévoilés bientôt.
On annoncera peut-être en même temps son premier emplacement, qui ne sera pas, au début, le campus/carrefour incluant le Collège Boréal, TFO et d’autres organismes imaginé par la présidente Dyane Adam.
Programmes futuristes
Ces programmes seront axés sur le développement de compétences «du 21e siècle» dans les domaines pluridisciplinaires ou interdisciplinaires de la «pluralité humaine», de «l’environnement urbain», de «l’économie mondialisée» et de la «culture numérique».