Les partenaires de l’Université de l’Ontario français et de son futur «Carrefour francophone du savoir et de l’innovation» à Toronto restent engagés dans le processus et restent optimistes que la province et le fédéral finiront par s’entendre sur son financement.
C’est ce qui s’est dégagé de deux jours d’«école d’été» de l’UOF qui a rassemblé la semaine dernière quelque 70 partenaires actuels et potentiels, autour de la présidente Dyane Adam, du vice-recteur Jason Luckerhoff et d’autres experts, à l’Alliance française de Toronto.
Tout ce beau monde voulait améliorer leurs façons de travailler ensemble et d’atteindre les objectifs de chacun.
Jason Luckerhoff explique que la recherche de partenariats «fait partie de l’identité de l’Université de l’Ontario français».
L’école d’été a aussi permis de «rassurer» les éventuels collaborateurs du Carrefour, qui pouvaient douter de la viabilité du projet après l’annonce du retrait du financement de la province au début de l’année.