à 14h07 HAE, le 17 avril 2012.
TORONTO – Plus de la moitié des parents canadiens questionnés aux fins d’une étude sur la sécurité en ligne admettent avoir «espionné» le compte Facebook de leur adolescent.
À l’échelle mondiale, ce sont 44 pour cent des parents qui avouent s’être rendus coupables d’une telle intrusion, selon l’enquête menée dans onze pays par la firme de sécurité AVG.
Les parents canadiens sont toutefois moins susceptibles d’espionner leurs adolescents que leurs homologues des États-Unis et d’Espagne, où 61 pour cent des parents reconnaissent avoir posé un tel geste.
Et dans tous les pays étudiés, les mères sont plus susceptibles que les pères de se livrer au «cyberespionnage». Environ 49 pour cent des mères se sont reconnues coupables, contre 39 pour cent des pères.