Les écoles MonAvenir au diapason du Mois de l’histoire autochtone

autochtones, Premières Nations, MonAvenir
L'affiche du Mois de l'histoire autochtone au Conseil scolaire catholique MonAvenir: l’oeuvre d’Isabelle Pauzé, artiste métisse de 19 ans, ancienne élève de l'école secondaire Nouvelle-Alliance, à Barrie.
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Publié 08/06/2025 par François Bergeron

Juin, le Mois national de l’histoire autochtone, est une occasion de réfléchir et d’honorer l’héritage des Autochtones, Inuit et Métis en Ontario et sur «l’Île de la Tortue» (le continent nord-américain dans la mythologie de plusieurs Premières Nations).

Dans les écoles du Conseil scolaire catholique MonAvenir, «élèves et membres du personnel rendent hommage aux histoires, aux réussites et à la résilience des peuples des Premières Nations qui vivent sur cette terre depuis des temps immémoriaux et dont la présence continue d’influer l’évolution du Canada».

Discuter des symboles autochtones

Les 61 écoles du Csc MonAvenir, à Toronto et dans la péninsule ontarienne de Peterborough à Niagara, ont reçu plusieurs affiches avec l’oeuvre de la jeune artiste métisse Isabelle Pauzé, ancienne élèves de l’école secondaire Nouvelle-Alliance à Barrie.

Les élèves sont invités à l’explorer et à en approfondir la signification lors de discussions en salle de classe. «Découvrir et comprendre les symboles importants pour les peuples des Premières Nations, Inuit et Métis est un geste de réconciliation», indique Nicole Mollot, la directrice de l’éducation.

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Contributions historiques et contemporaines

«Le Csc MonAvenir a la chance de compter des élèves autochtones au sein de toutes ses écoles. Nous rappelons que l’histoire des Premières Nations, Inuit et Métis est celle du Canada. Nous transmettons et renforçons l’idée que nous devons créer un meilleur futur pour toutes les personnes via la vérité et la réconciliation.»

«Le Csc MonAvenir reconnaît les contributions historiques et contemporaines des peuples autochtones dans la programmation scolaire», assure la présidente Geneviève Grenier.

L’Île de la Tortue inclut notamment les nations Anishinabek, Haudenosaunee et Wendat, qui ont rencontré les premiers explorateurs français, notamment Étienne Brûlé et Samuel de Champlain, il y a plus de 400 ans.

Auteur

  • François Bergeron

    Rédacteur en chef de l-express.ca. Plus de 40 ans d'expérience en journalisme et en édition de médias papier et numériques, en français et en anglais. Formation en sciences-politiques. Intéressé à toute l'actualité et aux grands enjeux modernes.

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