Le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, du 12 au 17 juin, traitera notamment du rayonnement de la culture, des affaires, de l’éducation et des savoirs.
C’est ce que la ministre québécoise Sonia LeBel a explicité récemment en conférence de presse. Reporté d’un an et réorganisé en format virtuel en raison de la pandémie, l’événement a pour porte-parole le chanteur Jean-François Breau.
La ministre des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne souhaite que le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes donne un nouvel élan aux relations entre le Québec et les francophonies du Canada.
Un investissement, pas une dépenses
«Pour moi c’est limpide, la francophonie, c’est n’est pas une dépense, c’est un investissement. C’est l’investissement dans notre avenir. Le Québec misera donc beaucoup sur le développement, entre autres, de la francophonie économique.»
De son côté, le porte-parole du Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, Jean-François Breau, souligne la fragilité que ressentent les francophones en situation minoritaire.