Oui, le quotidien a bien changé dans les derniers mois; pandémie oblige. Mais une chose demeure: l’engagement du gouvernement du Québec envers la francophonie canadienne.
Dans son article du 26 novembre dernier dans l-express.ca, intitulé Loi sur les langues officielles VS Loi 101, la chroniqueuse Annik Chalifour mentionne le Bureau du Québec à Toronto comme un exemple d’organisme qui favorise les partenariats interprovinciaux entre francophones d’un bout à l’autre du Canada, et je suis bien d’accord avec elle.
Oui, le Bureau est engagé plus que jamais à bâtir des ponts, à tisser des liens et à favoriser les échanges entre les Québécoises et Québécois et les francophones des autres provinces et des territoires au Canada.
Rencontres entre futurs partenaires
Le mois dernier, la ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, Sonia LeBel, annonçait l’attribution de près de 235 000 $ à 17 projets soumis, cet été (en pleine pandémie!), pour le Programme d’appui à la francophonie canadienne du gouvernement du Québec.
Ces projets représentent des collaborations qui contribueront à forger et à solidifier la solidarité entre les communautés francophones. Ils prendront la forme de rencontres structurantes, entre futurs partenaires, dans une panoplie de secteurs et d’activités innovantes qui participent au rayonnement du français au Canada.