Le prix de l’essence à la pompe, à Toronto, a chuté à des niveaux dont on ne se souvenait plus, à la faveur de la réduction drastique de l’activité économique et donc de la consommation.
Avant même la pandémie de coronavirus CoViD-19, le prix mondial du baril de pétrole était déjà à la baisse, entraînant d’ailleurs l’arrêt de projets d’exploitation de gisements au Canada.
Après le papier de toilette, va-t-on stocker de l’essence?