Bruno Coppens a fêté ses 50 ans toute la semaine au Théâtre français de Toronto. Il présentait sa pièce Mes singeries vocales, de l’humour à la belge pour remplir nos estomacs de spectateurs affamés.
Comment se rendre compte qu’on a passé «un cap»? Pour Bruno Coppens c’est le coup de massue quand une jeune fille d’une vingtaine d’années lui demande un autographe en ajoutant: «ma mère aime beaucoup ce que vous faites!»
Heureusement Riton est là! Son compagnon à la scène, Barman, coiffeur et surtout pianiste. Il accompagne l’artiste dans les déboires de son passage à la cinquantaine.
Quinqua-vénère
50 ans. Le demi-siècle. Bientôt la retraite. La coloscopie… Bref toutes les belles choses de la vie commencent à cet âge!
Et on fête ça joyeusement, en musique et avec une bonne grosse dose d’humour.
Guy Mignault, directeur du TfT ne mentait pas : Bruno Coppens est un véritable «virtuose des mots». Il accumule les contrepets, calembours et autres figures de style pour nous faire rire aux éclats.