Éric Robitaille s’est défoulé, vendredi soir dernier, en recevant un hommage spécial du Salon du livre de Toronto qui se déroulait la grande Bibliothèque de référence.
Il a exposé les affres du travail qui est le sien au micro de Radio-Canada: «être payé pour rencontrer et interviewer des écrivains et des artistes, lire leurs livres et écouter leurs musiques, voyager dans les salons du livre et les galas…»
L’animateur de Grands Lacs Café, diffusé de Sudbury le samedi matin à l’antenne ontarienne de Radio-Canada, a reçu une plaque des mains du président Valéry Vlad et du directeur général Paul Savoie du Salon du livre de Toronto, hommage annuel rendu à «un ami de longue date» de l’événement.
Rêve ou cauchemar?
Plus tard dans la soirée, Claude Guilmain, récipiendaire du prix Christine Dumitriu Van Saanen 2017 pour sa pièce de théâtre AmericanDream.ca, a débattu du «rêve américain» avec l’auteur manitobain Guy Gauthier, établi à New York depuis plusieurs années.
Très critique de nos voisins du Sud dans sa jeunesse, Gauthier ne s’attendait pas, dit-il, à aimer les États-Unis… «quoique New York multiculturelle et progressiste est très différente du reste du pays».