L’exposition Tatoueurs, tatoués du musée parisien du quai Branly, installée au Musée Royal de l’Ontario depuis le printemps, prend fin le 5 septembre.
Elle retrace l’histoire d’une pratique aux multiples significations qui date de 5 000 ans; témoignage visuel de cet art corporel et des outils utilisés, qu’ils soient anciens ou modernes.
Elle fait le point sur le renouveau du phénomène de l’art corporel et réunit des projets de tatouage sur silicone réalisés par une trentaine des plus grands tatoueurs contemporains.
«Le tatouage est devenu un choix personnel et a une signification individuelle», avait expliqué à L’Express son concepteur Stéphane Martin en avril. «Le message est qu’il faut prendre cela avec décontraction, car c’est un sujet universel, qui est en réalité très différent selon les régions du monde.»