Daniel Pokorn, de la graine d’humoriste

Daniel Pokorn
Daniel Pokorn avec son compagnon de scène.
Partagez
Tweetez
Envoyez

Publié 25/04/2018 par Camille Simonet

La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, mais dans la famille Pokorn, c’est plutôt l’arbre qui est tout près du fruit. Daniel Pokorn a décidé de suivre les traces de son fils, Luc, dans le divertissement, en essayant l’humour!

Pour rappel, Luc avait remporté un concours oratoire de chinois en langue seconde en Chine, en juillet 2013, et était ainsi devenu champion des Amériques. Cette victoire lui avait ouvert de nombreuses portes.

Le loisir de plaisanter

Luc Pokorn rêve de divertissement et de théâtre… Tel fils, tel père! Il y a six mois, Daniel Pokorn a décidé de suivre des cours de monologue comique au John Candy Box Theatre.

C’est une occupation pour ce retraité de la traduction (il a aussi été sculpteur) qui avait besoin de «légèreté»: «Pour moi, on contribue à son propre divertissement. Au lieu de regarder un film ou une pièce, on en fait partie un peu», explique-t-il sur le déclencheur de ce hobby peu commun.

L’humoriste en herbe suit aussi des cours d’improvisation dans un centre communautaire afin de se «stimuler les neurones». Cette nouvelle distraction a été plutôt bien accueillie par son entourage, impressionnée par son courage.

Publicité

«Il faut repousser les barrières, on se fixe des limites à nous-même alors qu’il suffit de se lancer», assure Daniel.

Daniel Pokorn
Daniel Pokorn et son perroquet, lors de sa représentation au John Candy Box Theatre.

 

«Le Français maladroit»

Pour l’heure Daniel Pokorn est toujours en apprentissage. Mais, cela ne l’empêche pas de réciter ses sketches sur scène pour s’entraîner, accompagné de son fidèle perroquet comme partenaire.

À terme, l’apprenti compte se trouver un vrai compagnon de scène avec qui il compte jouer «le Français maladroit». Une idée de spectacle remplie d’autodérision autour de vieilles chansons françaises.

La barrière de langue n’est pas un obstacle, qui n’hésite pas à amuser en français comme en anglais. Il s’est d’ailleurs produit à la scène ouverte du John Candy Box Theatre samedi dernier.

Publicité

Son mot d’ordre: ne pas se prendre au sérieux et surtout s’amuser!

Auteur

Partagez
Tweetez
Envoyez
Publicité

Pour la meilleur expérience sur ce site, veuillez activer Javascript dans votre navigateur