Au vu de l’économie et du commerce actuel, il est nécessaire pour les futurs travailleurs en affaire d’exceller en langues étrangères. Certaines sont simples à apprendre, d’autres ont un mécanisme beaucoup plus compliqué.
En juillet se déroulait un concours oratoire international de chinois langue seconde qui a rassemblé bon nombre d’étudiants universitaires, dont Luc Pokorn, de Toronto. Ce dernier, Canadien quadrilingue français, anglais, espagnol et chinois, a porté fièrement les couleurs de son pays jusqu’en finale.
Ayant remporté deux titres sur trois, champion des Amériques et de popularité, beaucoup de portes se sont ouvertes à lui.
Non seulement il a reçu une bourse lui permettant de choisir un programme de son choix dans l’université chinoise de son choix, mais il a également vu un début de renommée nationale s’offrir à lui.
Le concours ayant été diffusé à la télévision dans tout le pays sur la deuxième chaîne nationale, il se voit maintenant avec une cote de popularité à la hausse. De retour à Toronto au mois d’août, il a été bombardé de demandes d’entrevues des médias chinois locaux.