La crise du logement, en Ontario en général et à Toronto en particulier, n’épargne personne, pas même les étudiants internationaux qui, comme les nouveaux arrivants, y trouvent parfois des difficultés à trouver un toit à leur arrivée.
Toutefois, contrairement à ces derniers, des solutions sont proposées aux premiers par leur collège ou université d’accueil.
À bien des égards, dans la chose du logement, étudiants étrangers et nouveaux arrivants empruntent le même parcours semé d’embuches.
«Oui, pour certains, trouver un logement est très difficile. Bien que beaucoup de nos étudiants se trouvent une place avant d’arriver, le reste a besoin d’aide sur place», constate Gilles Fortin, vice-recteur à l’administration de l’Université de l’Ontario français (UOF).
Déficit de garanties
Alidor Molele, président de l’Association étudiante de La Cité (AECITE) et étudiant dans le programme de Techniques en administration des affaires du campus principal du Collège à Ottawa, est l’un d’entre eux.