Aurel est un vieux bonhomme qui dédie sa vie à sa petite plante. Elle est sa seule amie. Sa maison, un grenier, est couverte de notes écrites qui le maintiennent dans une certaine réalité. Mais un jour sa plante disparaît et Aurel ouvre la fenêtre pour la retrouver. Les notes s’envolent et avec elles la réalité.
Aurel aux quatre vents est une production jeunesse du Théâtre populaire d’Acadie et met en scène Marc-André Charron (Aurel) accompagné d’Annick Landry et Sylvain Ward pour les manipulations de marionnettes et d’objets.
Il s’agit de théâtre physique, où le texte est travaillé à partir du corps. Spectacle masqué, Aurel aux quatre vents traite de la mémoire, de l’oubli mais aussi de l’imaginaire.Écrite en collaboration par Mathieu Chouinard et Mélanie Léger, la pièce «est une histoire épique d’un homme qui veut retrouver sa plante», explique Marc-André Charron.
Si la pièce s’adresse principalement aux jeunes, les adultes peuvent aussi faire des liens avec leur vie, ou celle de proches.