La guerre et les va-t’en guerre grondent. Entre Iraniens, Israéliens et Palestiniens (par ordre alphabétique), les lectures fondamentalistes de la Torah et du Coran nourrissent aujourd’hui encore de l’hostilité réciproque.
Le Coran ne voit pas les Juifs d’un bon œil, tandis que, dans la Torah, ils sont le peuple élu. Ismaïl est fils d’Abraham de sa servante égyptienne auquel s’apparenteraient Arabes, Musulmans, Palestiniens. Tandis qu’Isaac fils de son épouse Sara sera l’ancêtre des Israéliens.
Les deux Livres sacrés parlent au nom du même «Seigneur». Un Seigneur au demeurant extrêmement violent qui détruira Sodome et Gomorrhe avec toute leur population, femmes, hommes, enfants, nourrissons.
Religions anciennes et conflits modernes
Harry Truman et Benjamin Netanyahu suivront sans remords les exemples du Seigneur. L’un, instantanément, à Hiroshima et Nagasaki, l’autre graduellement à Gaza. Quant aux Musulmans islamistes, les scènes d’horreur offertes sont trop connues et nombreuses.
Attentions – et je parle en connaissance de cause – ce ne sont pas les Musulmans qui sont à blâmer, mais les Islamistes. Les Iraniens saisissent très bien la différence, s’ils le veulent.