À Toronto, l’existence du plus grand et plus ancien festival de la francophonie internationale de la métropole est menacée. Sans un appui massif de la population et des bailleurs de fonds, l’édition 2024 de la Franco-Fête pourrait bien être la dernière.
L’ensemble de la francophonie canadienne devrait prendre fait et cause pour les francophones et francophiles de la métropole et éviter l’effet domino que pourrait créer la perte de l’un de nos fleurons culturels.
Il faudra donc encore se battre.
Cri du coeur
Ce énième chapitre de notre résistance a comme chant de ralliement Cri du cœur, qui est le thème de cette édition de la Franco-Fête de Toronto.
Il faudra l’entonner à plusieurs, haut et fort. Bien que le festival fasse partie du paysage culturel de la métropole depuis plus de 40 ans, les bailleurs de fonds publics et privés font la sourde oreille à la crise de financement que traverse l’événement et qui menace son existence.