Après Le Silence des pélicans et Les Os de la méduse, J.L. Blanchard nous offre une nouvelle enquête policière de Bonneau et Lamouche en signant La Constellation du chat. Un tueur en série signe ses crimes en dessinant un chat en rouge.
Dès le 8e chapitre sur 63, l’auteur met en scène un certain Félix qui revient à plusieurs reprises dans la narration. On se doute bien qu’il s’agit du tueur en série, mais qu’est-ce qui le pousse à agir?
Il existe des gens qui ont parfois «un motif raisonnable de faire des choses déraisonnables», et c’est ce que Bonneau et Lamouche doivent découvrir.
Une victime qui a beaucoup d’ennemis
La première victime est un politicien dont «le goût du pouvoir coulait à flots ininterrompus dans ses veines». Il cultive l’art de se faire des ennemis. Il défend des idées à contre-courant, qui ne font pas l’affaire de bien des gens.
Blanchard écrit que «pour réussir en politique, il faut ou bien savoir tirer avantage des circonstances ou bien les provoquer».