Cirque, chevaux et histoires d’amour sont les principaux ingrédients de Prise Deux, sixième roman de Pierre-Luc Bélanger. Il revient sur des thèmes qui lui sont chers: persévérance, résilience, quête de soi et poursuite de ses rêves.
Les quatre premiers mots du roman sont Darius Ahmadi, Zoé Bédard. Il s’agit de deux ados – l’un d’origine iranienne, l’autre de souche franco-ontarienne – que nous suivons dans des aventures à principalement à Ottawa et à Renfrew, dans l’Est ontarien.
Le milieu circassien
Je ne connaissais pas les mot «circassien» avant de lire ce roman. Il définit à la fois l’art du cirque et les gens qui le pratiquent.
Tout commence par un stage suivi par une vingtaine de jeunes avides d’explorer l’art clownesque, l’équilibrisme, la jonglerie et l’acrobatie au sol et aérienne. Ils viennent d’aussi loin que Saint-Boniface (Manitoba) et Bathurst (Nouveau-Brunswick).
Pour séduire ses lecteurs de 14 à 18 ans, l’auteur concocte une histoire d’amour et de grossesse non planifiée. De même qu’un séjour dans un ranch appelé Prise Deux où le cheval Canadien est à l’honneur.