D’abord observés en Grande-Bretagne, les cas de cette mystérieuse variole du singe sont pour l’instant plus mystérieux qu’inquiétants.
Mais il est probable que le nombre réel de cas est plus élevé que le nombre de cas rapportés, compte tenu de leur dispersion géographique.
Sur quatre continents
Un premier cas a été confirmé en Grande-Bretagne le 7 mai, chez un voyageur de retour du Nigeria. Deux autres le 14 mai, puis une dizaine de cas suspects quelques jours plus tard.
Une douzaine de cas suspects ont été annoncés à Montréal le 19 mai. Un au Massachusetts la veille.
Le fait qu’autant de cas soient détectés en aussi peu de temps et dans autant d’endroits différents — dont l’Espagne et le Portugal — suggère que plusieurs cas ont dû passer sous le radar.