D’ordinaire, on utilise des ossements humains ou des pierres taillées pour déterminer si des Homo sapiens sont passés par là. Cette fois, on mise sur une blessure d’un mammouth.
C’est en effet l’indice qui a valu à des chercheurs russes une publication dans la revue Science: un minuscule trou circulaire, en plein crâne, qui n’a pu être réalisé, estiment-ils, que par une lance.
Des éraflures sur les os des membres, apparemment survenues avant la mort de l’animal, seraient le résultat d’une attaque conjointe d’un groupe de chasseurs.