L’auteure torontoise Marguerite Andersen vient de remporter le prix littéraire Émile-Ollivier 2014 pour son roman La mauvaise mère, des confessions la révèlant en tant que mère de trois enfants, immigrante au Canada (d’Allemagne), universitaire, femme de carrière, pacifiste et écrivaine.
Le prix littéraire Émile-Ollivier est attribué annuellement par le Conseil supérieur de la langue française, un organisme du ministère québécois des Affaires intergouvernementales canadiennes.
Le jury décrit La mauvaise mère comme «une œuvre lucide et authentique, portée par une narration dynamique et une écriture très personnelle».
Le prix Émile-Ollivier fête ses 10 ans cette année. Son objectif est de souligner l’importance de la création littéraire et de la maîtrise de la langue française dans la vie culturelle des francophones. Le lauréat reçoit la somme de 5000 $ ainsi qu’un parchemin calligraphié.