Partout, des couples d’Occidentaux profitent d’hôtels, de restos et de spas d’exception à des tarifs parfois trois fois moins élevés qu’au Canada. Jeunes et cool, ils extirpent et savourent le jus de Bangkok, la Big Mango, la ville la plus effervescente d’Asie. Ils vivent des expériences dont les standards et l’originalité sont inégalés en Amérique du Nord, et ce, peu importe le prix.
Par exemple, le Sofitel So est un cinq-étoiles ludique dont les étages sont conçus par cinq éminents designers thaïlandais sur les thèmes de l’eau, de la terre, du bois, du métal et du feu. Cet hébergement-destination est bon dé d’oeuvres d’art conçues pour l’hôtel. Imaginez: les costumes «fusion franco-asiatique» des employés sont une création exclusive de Christian Lacroix!
Au rez-de-chaussée du Sofitel So, on trouve le Chocolab, une fabrique de chocolat expérimentale, et au 9e étage, les cocktails moléculaires du bar Mixo donnant sur le parc Lumpini, le poumon de Bangkok.
Le Sofitel So est aussi un paradis pour gastronomes. Son restaurant Park Society, avec vue sur la ville, sert de la fine cuisine française. Un souper de quatre services servi avec quatre coupes de champagnes assortis y coûte environ 150$ – imaginez le prix à Paris!
Autre exemple: le Divana, un des meilleurs spas de la Thaïlande, et donc du monde. Les massages y sont longs (jusqu’à trois heures!), langoureux, parfumés, fleuris et huilés à souhait. Les tarifs sont plus bas que dans les grands hôtels de Bangkok. Il s’agit donc d’une fraction des coûts des spas nord-américains, pour des services qui n’existent tout simplement pas chez nous.