L’année 2018 vient à peine de commencer, nous laissant un horizon encore très entachés d’injustices sociales. 2017, ça a aussi été des combats et des luttes contre ces injustices, notamment avec Amnistie internationale, dont Meryll David-Ismayil préside la branche francophone de Toronto.
Points forts
Pour commencer l’année, elle nous invite à nous demander «Suis-je un ou une défenseur.e des droits humains?». Selon Meryll, tout le monde a la capacité d’en être. Il n’est pas nécessaire d’être engagé et actif dans une ONG pour lutter pacifiquement contre les injustices sociales qui perturbent nos sociétés actuelles.
«On a tous un point fort, ne serait-ce que pour donner un coup de main à une cause. Quel est votre point fort à vous? Chanter, tricoter, créer une affiche, organiser, faire un discours, participer à un événement… Tout le monde peut potentiellement lutter pour un monde plus juste» explique la jeune femme.
Elle renvoie à une vidéo d’explication sur ce sujet, qui, en moins de deux minutes démontre que tout le monde peut-être un ou une defenseur.e des droits humains. Dans la vidéo, qui présente un graphisme minimalisme aux couleurs d’Amnestie internationale, sont énumérés les qualités requises pour prendre part à une cause, et en effet, tout le monde peut y prétendre!