500 nouvelles bornes de recharge pour véhicules électriques

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Publié 10/05/2016 par l-express.ca

Le gouvernement provincial injecte 20 millions $ de son Fonds d’investissement vert dans l’installation l’an prochain de près de 500 bornes de recharge pour véhicules électriques à plus de 250 endroits en Ontario.

La province collabore ici avec 27 partenaires des secteurs public et privé afin de mettre sur pied ce réseau de bornes dans les villes, à proximité des autoroutes, des lieux de travail, des immeubles en copropriété et des sites publics partout en Ontario.

Cette expansion de l’infrastructure de recharge dans l’ensemble de la province aidera à calmer l’«angoisse de l’autonomie», une préoccupation majeure des consommateurs concernant la distance que peuvent parcourir les véhicules électriques par rapport aux conventionnels.

Grâce à un réseau de plus en plus solide de bornes publiques partout en Ontario, les propriétaires de véhicules électriques peuvent maintenant planifier de plus longs trajets, sachant qu’une borne de recharge est aussi facilement accessible qu’une station-service.

Environ 6 400 véhicules électriques sont actuellement immatriculés en Ontario, sur plus de 8 millions de véhicules.

Selon le gouvernement libéral, il est essentiel de généraliser de plus en plus l’adoption de véhicules à émissions faibles ou nulles en CO2, un gaz à effet de serre, pour «lutter contre le changement climatique» et atteindre ses objectifs de réduction.

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Le Fonds d’investissement vert du gouvernement est doté de 325 millions $.

Outre les bornes de recharge rapide pour véhicules électriques, les projets qu’il couvre comprennent notamment des rénovations énergétiques pour les résidences unifamiliales et les logements abordables. Les collectivités autochtones, les organismes locaux et les entreprises privées peuvent également y obtenir des fonds pour les aider à adopter des habitudes plus «vertes».

En Ontario, les transports constituent le secteur émettant le plus de gaz à effet de serre (à distinguer de la «pollution» toxique traditionnelle, car le CO2 est par ailleurs très bénéfique à la végétation), notamment en raison de la croissance de la population et l’étalement des régions urbaines.

Selon le ministre Glen Murray, «pour réussir à contrer le changement climatique, il faut des changements fondamentaux dans nos façons de nous déplacer, de vivre et de travailler.»

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