On saura bientôt tout sur Mariette Carrier-Fraser, y compris ses travers les plus détestables, au cours d’un premier «Bien-cuit» organisé le 3 octobre à Ottawa au profit de la Fondation franco-ontarienne.
La participation à cette soirée au Centre Pauline-Charron coûte 60$. L’événement est organisé en collaboration avec le Club Richelieu d’Ottawa et l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO).
Mariette Carrier-Fraser est une «combattante franco-ontarienne» connue dans toute la province, fait valoir la directrice générale de la FFO, Suzanne Copping.
«Cette femme visionnaire» a consacré sa vie à l’éducation, commençant sa carrière comme enseignante à l’élémentaire dans le nord de l’Ontario pour finir comme sous-ministre adjointe responsable de l’éducation en langue française au ministère de l’Éducation, lors de sa retraite en 1997.