Nouveau rebondissement dans la saga de la manipulation des dernières élections présidentielles américaines par la Russie: des gens se disant proches du Kremlin auraient approché le fils de Donald Trump, l’été dernier, pour lui proposer des informations susceptibles de nuire à Hillary Clinton.
Junior aurait répondu: «j’aime ça»!
En campagne électorale, le candidat républicain avait même paru encourager les Russes ou Wikileaks à pirater les ordinateurs de Clinton et diffuser ses courriels incriminants.
Normal? Anti-démocratique? Criminel?
Imaginez l’inverse: des Canadiens ou des Chinois approchant l’équipe de Clinton avec des informations dommageables pour Trump. On leur aurait répondu: «non merci»? Impossible!