Parmi les expositions présentement en montre au Musée royal de l’Ontario (ROM), il y a Le kaléidoscope de Shanghai, Les machines à écrire anciennes et Darwin : la révolution de l’évolution. Chacune d’elles m’a réservé une mauvaise surprise.
En montre jusqu’au 2 novembre prochain, Le kaléidoscope de Shanghai présente les quatre principaux aspects de la culture florissante de la plus grande ville de Chine: l’architecture, l’esthétique urbaine, l’art contemporain et la mode. De grands artistes, architectes et créateurs de mode nous font voir la culture fulgurante de l’une des métropoles les plus dynamiques au monde, culture caractérisée par son rythme effréné, sa forte densité et ses multiples tours.
On propose au visiteur un mélange original de maquettes et de simulations numériques, de vêtements de haute couture, de dessins et de vidéos, ainsi que des œuvres photographies, des installations vidéo et des tableaux réalisés par d’importants artistes contemporains de Shanghai. Seule ombre au tableau, aucune des vidéos n’offre une entrevue en français (seulement en mandarin et en anglais).
Darwin: la révolution de l’évolution est présentée comme l’exposition la mieux documentée sur cet homme de science. On suit ce naturaliste, formé en médecine et en théologie, et on découvre les observations qu’il a faites en Amérique du Sud et aux Îles Galápagos. On apprend pourquoi certains l’ont glorifié et d’autres honni pour sa théorie de l’évolution. On apprécie surtout l’impact qu’ont eu ses idées sur la science et la société d’aujourd’hui.
En montre jusqu’au 4 août prochain, Darwin: la révolution de l’évolution est une exposition présentée en anglais seulement. Tous les textes sur les murs ne figurent que dans la langue de Shakespeare.