Aristote Kavungu : goût jubilatoire pour le corps d’une femme
Dans son sixième roman intitulé L’Accordéoniste, Aristote Kavungu illustre comment un homme peut avoir un «goût jubilatoire pour la femme, une fascination pour son corps qu’il tenait pour la plus belle œuvre d’art jamais conçue». L’ouvrage est tour à tour historique, romantique, poétique et un tantinet érotique. Aristote Kavungu, de l’Angola au Congo Le protagoniste se nomme Petrus. Son pays de naissance et son pays d’exil ne sont jamais mentionnés. Mais on sait qu’il parle le portugais et a vécu à Luanda, donc en Angola. Il arrive là où se déroule une guerre de sécession en 1964, donc au Congo. […]
Aristote Kavungu, fin psychologue et sociologue
Aujourd’hui, 25 septembre, nous célébrons la Journée des Franco-Ontariens et des Franco-Ontariennes. Je vous présente donc un roman d’un écrivain du Grand Toronto. L’être humain est-il naturellement porté à monter ses semblables les uns contre les autres, à les manipuler, à les isoler, voire à «tuer ses pairs par désœuvrement»? On pourrait le croire en lisant le roman Mon père, Boudarel et moi, d’Aristote Kavungu. Un tortionnaire en Indochine L’auteur s’est inspiré de l’histoire véridique du camp 113 en Indochine, et du présumé tortionnaire Georges Boudarel, pour écrire ce court roman de 80 pages. Le personnage principal et narrateur est […]