En avançant au pas de charge au Parlement et limitant le débat sur l’élargissement de l’accès au suicide assisté au Canada (Projet de loi C-7), le gouvernement du Canada précipite la mort des personnes en situation de handicap.
Fin de vie
Dans le contexte canadien présent, l’aide médicale à mourir (AMM) n’est accordée qu’aux personnes en fin de vie.
À l’instar des soins palliatifs et d’autres possibilités médicales de fin de vie, cette conceptualisation de l’AMM tend à sauvegarder le principe d’égalité en veillant à ce que tous les Canadiens puissent bénéficier d’une mort paisible et sans souffrance.
La majorité des Canadiens, y compris les personnes en situation de handicap, veulent mourir sans éprouver d’épouvantables souffrances. À cet égard, le régime canadien de l’AMM est déjà beaucoup plus laxiste que dans presque n’importe quel autre pays.
Égalité
À part le contexte de fin de vie, il n’existe aucune autre situation où le gouvernement encourage, facilite, promeut, accepte, tolère, ou participe à la mort de ses citoyens.