L’art est un élément essentiel à la santé mentale, au point où on devrait pouvoir discuter de «santé culturelle». Que ce soit au niveau scolaire, sociétal, politique ou économique, il faut réfléchir sur la place de l’art dans la société post-pandémie.
C’est l’idée mise de l’avant par la journaliste culturelle québécoise Émilie Perreault au Forum virtuel de la Fédération culturelle canadienne-française (FCCF) ce 1er décembre.
Émilie Perreault est l’auteure des essais Faire œuvre utile: quand l’art répare des vies (Éditions Cardinal, 2017) — dont est issue une série documentaire. Et Service essentiel: comment prendre soin de sa santé culturelle (Éditions Cardinal, 2021) – dont est issu un balado.
Le Forum avait pour thème «Cultiver l’art en tant que service essentiel», et la conférence «Faire œuvre utile: quand l’art répare des vies».
L’art peut nous réparer
La directrice de la FCCF, Marie-Christine Morin, explique que «les propos de Mme Perreault ont résonné en francophonie canadienne. Ce sont des thèmes universels qui ont touché des réalités de terrain, soit des artistes ou des travailleurs culturels».