Six ans après le Da Vinci Code, qui s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires en français seulement, Dan Brown est de retour avec Le Symbole perdu. Il nous invite cette fois-ci à Washington, dans l’univers de la franc-maçonnerie, des sociétés mystérieuses et de leurs nombreux symboles ou secrets à décoder.
Avec Le Symbole perdu, Brown remet en scène son héros Robert Langdon, un passionné de codes secrets. «La franc-maçonnerie, écrit-il, n’est pas une société secrète; c’est une société avec des secrets.» Elle est la plus vieille fraternité au monde. Ses règles du jeu sont complexes puisqu’il y a des cercles internes à chaque cercle, des confréries au sein de la confrérie. De quoi fournir le sujet de plusieurs chapitres.
Le lieu de l’action du Symbole perdu est Washington, le Capitole construit selon les plans de l’urbaniste français Pierre L’Enfant, la Bibliothèque du Congrès, la cathédrale de Washington et l’obélisque américain. Nous apprenons que la pierre angulaire du Capitole a été posée par George Washington d’après le rite maçonnique. Et la capitale américaine a été bâtie par des maîtres maçons – Washington, Franklin, L’Enfant – et des esprits brillants qui l’ont émaillée d’emblèmes et de symboles. De quoi étoffer plusieurs autres chapitres.
Professeur en symbologie, Robert Langdon est convoqué d’urgence à Washington pour remplacer un conférencier. Il est prêt mais ce qui l’attend va le bouleverser et le plonger dans les mailles d’une manigance tordue. Il n’a pas aussitôt mis les pieds au Capitole qu’il doit s’embarquer dans une quête haletante, des sous-sols de la Bibliothèque du Congrès aux temples maçonniques, à la recherche du secret le mieux gardé de la franc-maçonnerie.
Dans Le Symbole perdu, Dan Brown nous fait comprendre un vieil adage: «ce qui est en haut est en bas.» Vous connaissez cet adage puisque c’est l’équivalent de «Dieu a créé l’homme à son image.»