La participation de plusieurs Québécois en courses automobiles n’est pas étrangère à un soudain intérêt des francophones pour les différentes séries NASCAR (National Association for Stock Car Auto Racing).
Traditionnellement, c’est la Formule 1 qui gagne le cœur des amateurs. Le Grand Prix de Montréal qui se tient annuellement en juin en est un bel exemple. Les spectateurs accourent de partout au pays pour voir les monoplaces s’élancer sur le Circuit Gilles-Villeneuve et profiter d’une ambiance unique sur l’Île Sainte-Hélène.
Les courses de NASCAR, moins connues que celles de F1, offrent pourtant un spectacle et une atmosphère survoltés à portée de toutes les bourses qui n’ont rien à envier à la Formule 1.
Alors que les courses en F1 se déroulent sur des pistes comprenant différents obstacles (virages en épingles, chicanes, etc) la plupart des courses de NASCAR ont lieu sur des circuits ovales.
D’autre part, la longueur des circuits de F1 varie entre 3,3 et 7 km pour 20 voitures tandis que celle de NASCAR oscille entre 0,8 et 4 km pour 43 voitures. Sur les circuits les plus rapides, les voitures de NASCAR peuvent atteindre une vitesse moyenne pouvant dépasser 300 km/h.