Marc Sauvé élu président de l’AJEFO

AJEFO: Marc Sauvé succède à Nadia Effendi.
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Publié 25/06/2020 par l-express.ca

Me Marc Sauvé a été élu ce jeudi 25 juin à la présidence de l’Association des juristes d’expression française de l’Ontario (AJEFO). Il  succède pour deux ans à Me Nadia Effendi, suite à l’Assemblée générale annuelle par vidéoconférence.

Originaire de l’Est de l’Ontario mais exerçant aujourd’hui à Toronto en tant qu’associée du cabinet Borden Ladner Gervais, Me Sauvé est un associé et un membre fondateur du cabinet Caza Saikaley. Sa pratique porte principalement sur le litige civil et commercial, mais il se spécialise surtout dans des litiges concernant la négligence médicale et les blessures corporelles catastrophiques.

Le plus jeune

En 2019, Me Sauvé a été récipiendaire du prix du Juge principal régional honorant les avocats avec 10 ans de pratique ou moins qui contribuent de façon remarquable au sein de la profession et de leur collectivité.

Me Sauvé est le plus jeune avocat à accéder à la présidence de l’AJEFO. Il siégeait jusqu’à maintenant à titre de vice-président, après avoir été représentant des avocats de l’Est ontarien.

«J’aimerais moderniser l’AJEFO et orienter mon mandat sur le recrutement intensif de membres partout en Ontario pour y renforcer la représentativité du français au sein de la profession juridique», commente-t-il.

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Nadia Effendi

Me Nadia Effendi se dit certaine que Marc Sauvé «représentera les intérêts de la profession et de la communauté juridique avec brio».

L’AJEFO l’a remerciée pour deux années «très productives». Sous sa gouverne, l’organisme multiplié les évènements de réseautage et de formations en français partout en province. L’AJEFO a aussi intensifié sa collaboration avec ses partenaires communautaires, institutionnels et politiques pour donner ses recommandations ou faire avancer des dossiers cruciaux pour l’avancement de la justice en français.

Lors de son mandat, Me Effendi a notamment eu l’occasion de comparaître devant le Comité sénatorial permanent des langues officielles dans le cadre de son étude sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles et devant le Comité permanent des langues officielles de la Chambre des communes dans le cadre d’une mise au point sur la francophonie canadienne.

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