Un article publié le mois dernier qui proclamait avoir révélé un «secret bien gardé» sur les traînées nuageuses derrière les avions – des substances toxiques répandues volontairement dans l’atmosphère! — a été rapidement discrédité et retiré de la circulation.
Apparemment, le responsable de l’International Journal of Environmental Research and Public Health avait lu trop vite les commentaires des réviseurs. Ceux-ci avaient souligné, par exemple, que la valeur utilisée par l’auteur pour la concentration d’aluminium résultait d’une grosse erreur de calcul.
Et son analyse de la composition chimique de l’eau de pluie n’était comparée à rien du tout, ce qui ne permettait pas de savoir si les traces de charbon détectées sont plus ou moins élevées qu’ailleurs.