«L’engagement civique n’est pas si compliqué, pas si inaccessible» pour Fayza Abdallaoui, présidente du MOFIF, qui avoue avoir atterri en conseil d’administration un peu par hasard.
S’engager pour la communauté, autrement dit agir pour changer les choses, est-il simple comme bonjour? Choc de culture, manque d’information, peur de prendre la parole… Dans la réalité, il n’est pas facile pour un nouvel arrivant de prendre les choses à bras le corps et d’aider sa communauté d’un claquement de doigts.
Pour aborder cette question de l’intégration des immigrants dans les instances communautaires et civiques, CHOQ FM tablait sur un panel varié composé de personnalités de la francophonie torontoise pour son quatrième et dernier volet de Carrefour CHOQ jeudi dernier dans les locaux du Collège Boréal.
Une petite vingtaine de personnes y a participé pour revenir sur la nécessité et les vices de l’engagement communautaire.
L’altruisme communautaire n’existe pas?
Les panélistes ne le nient pas, s’engager dans la communauté peut être une action stratégique.