Le Diamond Princess restera dans les annales de l’épidémiologie: ce navire de croisière aura «hébergé» les premières études sur la contamination par la CoViD-19, avec quelque 700 passagers touchés.
Cet effort de recherche aura permis de comprendre combien le virus était contagieux, fourni des estimations sur la gravité de la maladie et même permis aux chercheurs d’en apprendre un peu plus sur ceux qui partageaient l’infection, même s’ils n’avaient pas de symptômes.
Un tel milieu clos et isolé s’avère en effet une source importante d’informations scientifiques, rapporte un article de Nature.
Un environnement fermé est également un lieu crucial pour étudier le comportement d’un virus encore inconnu — et spécialement un navire de croisière dont la clientèle est composée d’une forte proportion de personnes âgées, plus vulnérables à la maladie.
Entre Hong Kong et le Japon
Le 1er février dernier, un passager qui avait quitté le Diamond Princess à Hong Kong quelques jours plus tôt est testé positif à la CoViD-19.