Le Festival de la Lumière encore plus spectaculaire

Jusqu'au 4 mars au quartier de la Distillerie

Une installation artistique lumineuse impressionante sur un toit de la Distillerie.
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Publié 25/01/2018 par Laurie Humbert

Depuis le 19 janvier, et ce jusqu’au 4 mars, le quartier de la Distillerie brille de mille feux – ou devrait-on dire «de milliers de LEDs» – pour la seconde édition du Festival de la Lumière de Toronto «plus grand, plus impressionnant, et plus lumineux», d’après son slogan.

S’ouvrant chaque soir au coucher du soleil, le festival éteint la lumière à 21h en semaine et 22h le week-end.

«La lumière», ce sont une trentaine d’installations artistiques réalisées par des artistes locaux et internationaux, dont le Hongrois Viktor Vicsek qui expose ses Têtes parlantes, ou encore le groupe d’artistes canadiens Heavy Meta Collective qui présente Heavy Meta, un impressionnant dragon cracheur de feu de 10 mètres de haut.

Heavy Meta, des artistes canadiens Heavy Meta Collective.

L’objectif du festival serait de réchauffer et d’apporter de la lumière aux Canadiens, à la période de l’année la moins ensoleillée, et la plus froide.

«On ne prétend pas être un festival esthético-chic», explique Mathew Rosenblatt, le créateur du festival, et un des artistes exposants. «C’est un festival accessible à tous. On veut simplement rendre l’hiver moins craignos, avec de jolies oeuvres lumineuses, et faire sourire les gens.»

Totalement gratuit, le festival transforme le quartier historique de la Distillerie, 45 soirs d’affilée, en l’une des plus grandes galeries ouvertes en Amérique du Nord.

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Installation lumineuse.

Le samedi soir, les visiteurs sont invités à venir au festival vêtu d’un costume «créatif et d’hiver, ou juste très amusant». Cela prend part au projet You Are The Art du festival.

En postant une image de leur costume sur Instagram, avec le mot-dièse #tlfcostume, les participants au concours You Are The Art peuvent prétendre au premier prix d’une somme de 400$ et à cinq prix secondaires, chacun d’une valeur de 100$. Le concours est relancé chaque semaine.

Une présence mystérieuse.

«On aimerait que ce soit une expérience interactive», explique Rosenblatt. «On veut que les visiteurs s’amusent et rendent le festival encore plus créatif, inspirant, et mémorable.

Mais attention, aucun costume offensif ne sera toléré. Cela inclut de se déguiser en Donald Trump. D’autres mauvaises idées seraient de se déguiser en joueur de hockey, ou en sorcière – ce n’est pas l’Halloween!»

Des oeuvres aux allures de feu d’artifice.
Peace and Love.

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