La Théâtre français de Toronto au cœur de l’univers de Gabrielle Roy

Les 27, 28 et 29 mars au Studio Aki

TfT Cet été qui chantait
Natalie Labossière et Marie-Ève Fontaine dans Cet été qui chantait. Photo: Julio Assis (Buio)
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Publié 18/03/2025 par l-express.ca

Le Théâtre français de Toronto présente la semaine prochaine Cet été qui chantait, une création de Marie-Ève Fontaine inspirée de l’oeuvre de Gabrielle Roy, en coproduction avec le Théâtre Cercle Molière (Manitoba) et produite en tournée par Flammèche Théâtre (Territoires du Nord-Ouest).

Ce spectacle «poétique et sensoriel», qui fait intervenir des marionnettes, sera à l’affiche du Studio Aki du groupe Native Earth, dans le Daniels Spectrum du 585 rue Dundas Est, les 27, 28 et 29 mars.

TfT Cet été qui chantait
Natalie Labossière et Marie-Ève Fontaine dans Cet été qui chantait. Photo: Julio Assis (Buio)

Dans sa petite maison aux volets verts, Gabrielle Roy, interprétée par Marie-Ève Fontaine, «observe, émerveillée, la nature environnante: le petit foin qui danse dans le vent, les fleurs épanouies sur un tas de fumier, les oiseaux noirs et blancs qui longent les battures en criant à marée basse, et les lucioles chuchotant à la tombée de la nuit…»

«Ce spectacle ne doit pas être perçu comme un simple divertissement pour la jeunesse: il s’adresse à tous», assure le TfT. «Il touche autant les rêveurs que les romantiques, les amoureux de littérature et de théâtre.»

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«Cet été qui chantait est un moment suspendu, une expérience sensible qui parle à l’âme, quel que soit l’âge du spectateur.»

TfT Cet été qui chantait, Gabrielle Roy
Gabrielle Roy vers 1945. Photo: Annette & Basil Zarov, Fonds Gabrielle-Roy, Bibliothèque et Archives Canada NL 22064, Domaine public, Wikimedia.org

Gabrielle Roy (1909-1983), autrice, enseignante et journaliste, est une figure incontournable de la littérature canadienne-française. Son œuvre Bonheur d’occasion (1945) a marqué un tournant dans la littérature en introduisant le réalisme urbain.

Rappelons qu’au TfT, les représentations sont surtitrées en anglais. Les spectateurs ont aussi la possibilité d’utiliser des lunettes à réalité augmentée pour une immersion encore plus complète: un simple clic permet d’alterner entre le français et l’anglais, selon les préférences de chacun.

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