Aujourd’hui Bell cause pour la cause, mais dans les écoles secondaires c’est quotidiennement qu’on parle de santé mentale.
Pour Micheline Rabet, gestionnaire des services cliniques en travail social et en santé mentale au Conseil scolaire catholique MonAvenir, il est important de savoir que la santé mentale et la maladie mentale ne sont pas les deux faces d’une même médaille.
«Même si une personne est diagnostiquée avec un trouble de santé mentale, elle peut être en meilleure santé mentale que quelqu’un qui n’est pas atteint d’une maladie mentale», affirme-t-elle.
Du lundi au vendredi
Pour les conseils scolaires, la santé mentale est synonyme de bien-être «C’est un travail journalier pour maintenir un équilibre au niveau physique, cognitif, social et émotionnel», rapporte Eve-Amélie Towner-Sarault Conseillère aux communications du Conseil scolaire catholique MonAvenir
Pour les élèves faire ce travail journalier n’est pas toujours facile. En 2018 le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) révélait, dans son sondage sur la consommation de drogues et la santé des élèves de l’Ontario, qu’environ 30% des étudiants du secondaire affirmaient vivre avec un taux élevé de stress.