La saison prochaine au TfT: amour et voyages

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Publié 01/04/2014 par l-express.ca

C’est au cours d’une «soirée belge» après la première de Mes singeries vocales de Bruno Coppens, que le directeur artistique Guy Mignault dévoilait mercredi dernier la 47e saison du Théâtre français de Toronto dans le lobby du Berkeley Street Theatre.

De septembre 2014 à mai 2015, le TfT offre 7 pièces en français, surtitrées en anglais les mercredis, vendredis et samedi: 4 spectacles en tournée accueillis à Toronto, 3 productions du TfT, 3 premières torontoises, 1 Molière, 1 Tremblay, 1 création toute fraîche.

Le Passé antérieur de Michel Tremblay sera donné fin septembre 2014. Montréal, 1930, en pleine crise économique. Albertine a 20 ans. Elle caresse secrètement le rêve de vivre un grand amour.

Les Zinspirés 3D, écrit par de jeunes auteurs torontois, fin octobre 2014. Depuis maintenant trois ans, le concours Les Zinspirés anime une quinzaine d’écoles du Sud de l’Ontario et produit près de 200 contes par an. À travers cinq coups de coeur, on vous propose une série de contes qui tous sentent le vécu et le parler des ados d’ici.

Le Chant de Georges Boivin de Martin Bellemare, fin novembre 2014 (avec le grand acteur Pierre Collin). Georges Boivin, 77 ans, vient de perdre sa femme. En compagnie de trois amis retraités, il part à la recherche de sa première conquête – perdue de vue il y a plus de 50 ans.

Le Chat Botté d’après le conte de Charles Perrault, début décembre 2014.

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Une Vie pour deux d’Évelyne de la Chenelière, d’après le roman de Marie Cardinal, fin janvier 2015. Inspiré de faits vécus: un couple à la dérive découvre un cadavre sur la grève irlandaise.

Midsummer (une pièce et neuf chansons) de David Grieg et Gordon McIntyre, en février 2015. À Édimbourg, Helena, une avocate spécialisée en divorce, et Bob, un revendeur de voitures volées, se rencontrent dans un bar: anti-comédie romantique où il pleut toujours et où le sexe est loin d’être parfait…

Le Malade imaginaire de Molière, en mai 2015 (dans une mise en scène de Guy Mignault).

Exceptionnellement, le TfT saute donc mars et avril, parce que le Canadian Stage, propriétaire du bâtiment de la rue Berkeley, a besoin des deux salles qui s’y trouvent. C’est là une nouvelle illustration, confirme Guy Mignault, du besoin pour le TfT d’une salle bien à lui. Des démarches en ce sens sont entreprises depuis quelques années.

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