On aimerait souvent pouvoir revenir en arrière et faire les choses autrement. Germinal pousse la logique plus loin en offrant à ses protagonistes l’occasion de refaire le monde au complet.
Le centre Harbourfront va lancer la 30e édition de son festival World Stage, le 20 janvier, en présentant cette pièce française (avec surtitres anglais), l’une des plus en vue sur le circuit mondial, sur lequel elle tourne depuis 2012.
Le titre n’a rien à voir avec le Germinal de Zola, confirme Halory Goerger, co-auteur avec Antoine Defoort, en entrevue à L’Express. “Mais c’est un beau titre”…
«Rafraîchisssante», «exhubérante», «drôle», «intelligente», selon la critique, la pièce multimédia confie à quatre personnages la mission de refaire le monde dans les seules frontières d’une scène au décor minimaliste.
«Je ne sais pas si c’est de la science-fiction», indique Halory Goerger. «Ça pourrait en être. Personne ne sait pourquoi les personnages en arrivent là, même pas nous.»