«Plus j’écris, plus j’aime ma culture franco-ontarienne, ma langue», affirme la romancière Hélène Koscielniak, invitée de l’Association des auteurs et auteures de l’Ontario français pour la Croisée des mots du mois de mai, à la Bibliothèque publique de Toronto.
Enseignante à la retraite de Kapuskasing, Hélène Koscielniak a publié cinq romans: Marraine, Carnet de bord, Contrepoids, Filleul et Frédéric, ainsi qu’un recueil de douze nouvelles intitulé On n’sait jamais à quoi s’attendre.
Raconter
Interviewée par Daniel Birru, de CHOQ-FM, elle précise tout de go qu’écrire n’est pas enseigner. «Je cherche à raconter une histoire et non pas à donner une leçon.»
Ses romans s’inspirent de l’actualité et traite ainsi de sujets tels que le parrainage d’immigrants, l’obésité, le syndrome post-traumatique et la séduction prof-élève.
Le prochain roman traitera de l’anorexie, un sujet qui lui a été proposé cette fois-ci par son éditeur, L’Interligne (Ottawa).