La vice-première ministre Ariane Freynet-Gagné et la cheffe de l’opposition Annie Berger ont toutes deux étés surprises en coton ouaté la semaine dernière au 10e Parlement jeunesse pancanadien (PJP), un «scandale» rapporté par le journal du PJP 2020, Le Carillon.
La dixième législature du PJP se tenait dans la nouvelle Chambre du Sénat à Ottawa. Depuis 20 ans, la Fédération de la jeunesse canadienne-française (FJCF) orchestre aux deux ans cet exercice permettant à des jeunes d’expression française de partout au pays de s’immiscer dans la peau d’un parlementaire.
Le but de cette simulation est de faire vivre à des jeunes de 16 à 25 ans l’expérience de la colline parlementaire.
Les participants prennent part à l’activité en tant que députés, ministres, pages (pour les moins de 16 ans), ou encore en tant que journalistes, afin d’assurer une couverture médiatique en temps réel des événements du PJP.
Un soupçon d’actualité
L’affaire du coton ouaté, qui menaçait (ou pas vraiment) le décorum de l’assemblée, était un clin d’œil à la vraie controverse suscitée l’an dernier par la «vraie» députée Catherine Dorion (Québec solidaire) à l’Assemblée nationale du Québec.