Bien que les contrecoups de la pandémie se fassent sentir à bien des niveaux, des institutions postsecondaires se disent peu touchées pour ce qui est des dons reçus dans le cadre de leurs programmes de bourses et de fondations d’aide financière.
Malgré une économie incertaine, les donateurs continuent de répondre présents.
Moins de donateurs, dons plus gros
Pour l’Université d’Ottawa, c’est une question d’équilibre. «Il y a moins de donateurs, mais ceux-ci font des dons plus généreux», explique la gestionnaire des relations avec les médias Isabelle Mailloux Pulkinghorn. «Cela amoindrit quelque peu les impacts négatifs, mais évidemment, ça ne peut pas être une solution à long terme.»
Dans l’ensemble, c’est surtout grâce aux donateurs annuels que l’Université d’Ottawa parvient à maintenir à flot ses chiffres d’affaires.
«Plusieurs fonds de bourses sont financés à partir de fonds dotés, donc leur financement est assuré. Plusieurs généreux donateurs continuent aussi à nous appuyer année après année», poursuit la gestionnaire.