Le GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, créé en 1988 par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), s’inscrit dans une riche tradition catastrophiste.
Sa «science» prend de plus en plus les allures d’une religion… une secte suicidaire qui postulerait que l’humanité est «de trop» sur cette planète.
De la Bible à Malthus
Ce n’est pas d’hier qu’un grand nombre de gens craignent que l’humanité périsse dans la guerre, le chaos, la pollution ou le déluge.
Depuis 2000 ans, la Bible prédit l’Apocalypse. Encore aujourd’hui, ses plus fervents adeptes en surveillent les signes avant-coureurs.
Thomas Malthus, un économiste du début du 19e siècle qui était aussi pasteur anglican, s’inquiétait de la surpopulation, une thèse que récupère Dan Brown dans son dernier roman Inferno.