Les astronautes d’Apollo, il y a 50 ans, étaient presque tous des aviateurs, des pilotes d’essai, avec un penchant pour le risque.
Mais les différentes agences nationales qui commencent à envisager un retour vers la Lune ont intérêt à décider le plus tôt possible de ce que seront leurs besoins. Quelles seront les tâches confiées aux hommes et femmes qui iront là-haut?
Des mineurs?
Si nous y allons pour de l’exploitation minière, «alors disons-le», déclare dans le New Scientist l’anthropologue Lisa Messeri, de l’Université Yale.
Le milliardaire Jeff Bezos est le seul, dans la dernière année, à avoir évoqué l’exploitation minière, mais il est certain que pour établir une base permanente, il en faudra.
Si c’est pour de la recherche, comme sur les différentes bases de l’Antarctique, ça suppose une préparation différente, plusieurs années à l’avance.