Ceci n’est pas une histoire de vampires

Partagez
Tweetez
Envoyez

Publié 24/04/2017 par Agence Science-Presse

Une protéine présente dans le sang de jeunes humains peut aider les cerveaux de vieux… rats.

L’objectif des chercheurs est, à long terme, que ce «traitement» puisse servir à combattre les effets du vieillissement sur le cerveau humain.

Mais il leur faudra auparavant comprendre les mécanismes derrière cette percée annoncée le 19 avril dans Nature: c’est la première fois qu’on identifie une protéine humaine capable d’améliorer les performances d’un cerveau de rongeur — en d’autres termes, freiner ou inverser les effets du vieillissement.

Publicité

Et le fait que cette protéine provienne de notre sang — plus exactement, le sang du cordon ombilical — s’inscrit dans une longue série de recherches, sur les bénéfices possibles du «jeune» sang.

Des chercheurs évoquent cette théorie depuis des décennies, et un certain comte Dracula y croyait aussi… Sauf que jusqu’ici, la possibilité d’un pouvoir «régénérateur» n’a été démontrée que dans des transfusions sanguines de souris à souris.

Auteur

Partagez
Tweetez
Envoyez
Publicité

Pour la meilleur expérience sur ce site, veuillez activer Javascript dans votre navigateur