James Patterson nous offre un 14e volet de sa série Women’s Murder Club. Dans 14e péché mortel, il nous plonge dans une enquête du San Francisco Police Department (SFPD) sur une série de braquages impliquant «des enfoirés déguisés en policiers, parfaitement organisés, rapides et équipés d’armes intraçables».
Le sergent Lindsay Boxer fait évidemment partie de l’équipe qui enquête sur des meurtres commis par des hommes blancs portant des coupe-vent bleu marine siglés SFPD en grosses lettres blanches. Ça ressemble à une guerre, flics contre barons de la drogue.
L’auteur explique la différence entre tueur psychotique (incapable de distinguer le bien du mal) et tueur pathologique (responsable de ses actes). La seconde catégorie s’applique ici.
Les tueurs en cavale sont sans conscience, tuent pour le plaisir, parce qu’ils aiment ça. «Le meurtre leur procure une jouissance extrême, et le seul moyen de les arrêter était de les supprimer. Ou de les enfermer.»
Chaque semaine, Lindsay Boxer est appelée sur une nouvelle scène de braquage qui a laissé des victimes, sans la moindre trace de l’arme utilisée, sans la moindre empreinte digitale. Le meurtrier arbore toujours un coupe-vent du SFPD et porte un masque en latex.