Bientôt un 16e café Balzac’s à Toronto: des succès et des projets

L’enseigne de café Balzac’s rencontre un franc succès depuis sa création en 1993. À l’occasion de son 25e anniversaire, nous avons rencontré la fondatrice Diana Olsen. Accompagnée de ses équipes, elle travaille sur la future expansion de l’entreprise.

Nouveau lieu

Un nouveau café Balzac’s va ouvrir d’ici début 2020. Il sera situé à la station de métro Vaughan Metropolitan Centre dans la tour PwC. Un lieu fidèle à l’esprit des cafés Balzac’s: «des équipes formidables et du très bon café».

Diana aime le rappeler, «les cafés Balzac’s sont faits pour réunir les gens. Nous avons toute sorte de clients: des enfants, des adolescents, des artistes, des gens d’affaires, des ouvriers…».

La femme d’affaires est diplômée en littérature française. Le nom de la chaîne réfère à l’auteur français Honoré de Balzac, pour qui «le comptoir d’un café est le parlement du peuple».

Pour le moment, les cafés Balzac’s se trouvent uniquement en Ontario. Diana aimerait en ouvrir ailleurs au Canada, comme à Montréal, Calgary ou Vancouver.

La principale difficulté est la logistique. «Il faudrait avoir un bureau sur place, c’est plus difficile à gérer. Ça ne veut pas dire qu’on ne va pas le faire, seulement pas maintenant», explique-t-elle.

Nouvelle boisson

En juillet dernier, une nouvelle boisson est apparue dans les cafés: la cannette Nitro Cold Brew. Cette boisson rafraîchissante à base de café se décline en plusieurs saveurs: noir classique, vanille et mocha.

Léger et peu chargé en caféine, la canette rencontre un véritable succès: «vanille est le parfum préféré de nos clients», nous confie Diana.

Le produit sera prochainement distribué dans des chaînes de magasins comme Metro ou Loblaws.

Nouveau PDG

La fondatrice des cafés Balzac’s est en train d’embaucher un nouveau PDG. Si elle occupait jusqu’à présent ce poste, Diana souhaite se concentrer sur ce qui lui plaît le plus: la décoration, le design et le marketing.

«Les décisions financières, négocier le futur de l’entreprise… J’en suis arrivée au stade où c’est trop de pression.» Déléguer, donc, pour mieux se concentrer sur la partie création de l’entreprise.

«Si je suis trop occupée avec les questions financières, j’ai l’impression de ne pas faire les choses pour lesquelles je suis douée.»

Diana souligne que c’est également important pour ses employés: «Il faut qu’ils sachent qu’il va y avoir de nouvelles opportunités de carrière.»